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29 octobre 2007

WE "Vivre Ensemble"

Tout juste rentrés d'un WE dont le thème était "vivre ensemble", à la maison St François.

WE couple, WE non pas "d'Equipe", mais en Equipe, les trois couples "rescapés" de l'Equipe ont apprécié je pense.
Rythme plus tranquille qu'à Tressaint, une véritable respiration. Trois temps d'enseignement très chouettes, articulés autour de l'évangile : celui des disciples d'Emmaüs. Des réflexions très intéressantes, qu'il faudra encore que je mette au propre, un jour. Des temps en couple, armés de pistes de réflexion. L'un d'entre eux fut réellement un superbe temps de DSA pour nous, DSA qui s'est finalement prolongé une bonne partie du WE !
Samedi en fin d'après-midi, un chapelet magnifique, surtout pour moi qui suis encore parfaitement novice en la matière, un véritable temps d'adoration et de louange, lumineux et calme.
Samedi soir, une veillée de prière et de méditation, au cours de laquelle, après des témoignages très forts de la présence de Dieu au sein de couples, nous fûmes invités à renouveler nos voeux dans l'intimité de nos coeurs, ensemble, moment magique...
Que dire encore ? ces temps tous les six, déambulations en direction de l'eau, discussions profondes, masques tombés, gentil chahut et échanges sincères. Mais encore la messe dominicale, rejoints par des paroissiens engagés, ces chants enthousiastes, cette communauté dynamique...

Est-il nécessaire de le dire ? Un jour, nous reviendrons ici.
Et sans attendre, nous comptons continuer notre route, tenir nos engagements et fixer quelques dates de retrouvailles...

Pour ce magnifique WE, pour ces échanges à deux qui nous font avancer dans la connaissance et la compréhension de l'autre, Merci Seigneur !

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22 octobre 2007

Réunion d'octobre

Première réunion, pour ce mois d'octobre, à trois couples seulement.

Notre foyer-pilote est toujours là bien sûr, mais nous devons désormais préparer nos réunions seuls, et ils nous annoncent qu'à priori ils devraient nous quitter à la fin de l'année.

21 octobre 2007

Réunion de septembre

Pour cette réunion de rentrée, nous avions décidé de reporter l'étude du thème prévu d'un mois, et de réfléchir sur le texte du jour : Luc (5, 1-11) La pêche miraculeuse.

L'ambiance de  la réunion fut toute particulière, puisque, après des échanges longs autour des vacances,  les P., derniers à prendre la parole lors du temps d'échange autour du repas, nous avaient informés qu'après un été de réflexion, ils avaient décidé de quitter l'Equipe, se sentant "largués" par la vitesse de mise en place des différents points d'effort, et ne se sentant pas à même de s'engager plus avant.
De l'émotion donc et beaucoup de tristesse, avec aussi, un peu égoïstement, la question du "comment allons-nous faire ? Nous ne serons plus que trois couples.."

La pêche miraculeuse était donc tout adapté comme texte, nous ramenant à la notion de confiance. S'abandonner avec confiance entre les mains de Dieu. ce texte est aussi un appel à l'optimisme et à l'Espérance. ces hommes ont traversé la Foi, ils quittent leur barque et se retrouvent sur l'autre rive, dans l'inconnu mais dans la confiance.
On y trouve également la Foi, celle de Pierre, qui croit à la parole de Jésus, contre son bon sens de pêcheur.

Le partage concernait deux PCE : la lecture de la parole et le DSA.

La lecture de la parole est une habitude difficile à prendre. Pour certains, ce fut particulièrement difficile avec les changements de rythme liés aux vacances.
Certains se sont abonnés à la parole par mail, et reçoivent donc chaque matin la parole du jour. P. préfère prier le matin et ajouter la lecture à sa prière avec le magnificat. J. confie être parfois "sèche" face à un texte. La lecture est perçue comme une ouverture vers la Prière, vers le Seigneur.

Difficile aussi de trouver l'habitude du DSA. Les F. n'en ont pas fait, ils ont perçu le besoin de se programmer une rencontre en dehors du cadre familial. Les B. ont une soirée perso une fois par mois, au cours de laquelle ils échangent beaucoup, mais n'ont pas formalisé les choses. Les C. ont devancé le jour fixé par eux, un peu spontanément, un échange très riche, même si, là encore, pas vraiment formalisé.
Tous, nous sommes d'accord pour trouver, d'une part que nous avons progressé dans la conscience de notre couple et dans la communication. G. résume très bien en évoquant la Chance, que nous aonvs de pouvoir échanger ainsi.

Nous terminons la soirée par l'élection du foyer responsable pour l'année. Il s'agira donc des B.

21 octobre 2007

Un long temps d'attente..

Un mois et demi sans écrire... Pourtant, il s'en est passé des choses !
Mais la rentrée, l'organisation... Le temps passe toujours trop vite !

Et puis un couple a quitté l'équipe.

Lors de la réunion de septembre, les P. nous ont annoncé, avec beaucoup d'émotion, que le rythme END allait trop vite pour eux, qu'ils n'étaient pas prêts à faire ce cheminement.
Une décision que nous respectons, que nous avons accueilli avec beaucoup de tristesse, pour eux comme pour nous, et qui boulverse l'équilibre de l'Equipe.
Nous sommes à présent une équipe de trois couples seulement, donc un peu bancale... Pour l'instant le couple accompagnateur chemine toujours avec nous, mais rapidement ce ne sera plus le cas. Il faudra alors trouver un équilibre nouveau, et peut-être aurons-nous la chance de voir un autre couple nous rejoindre ?

Les P. nous avaient rejoints en cours de route lors de notre cheminement Tandem, j'ai personnellement le sentiment qu'il leur a manqué les quelques mois supplémentaires dont nous avions bénéficié. Ces quelques mois sans lesquels nous n'aurions pas, nous, fait la démarche END je pense...
J'espère qu'il sauront trouver autrement les réponses et le soutien qu'ils cherchaient, et nous continuerons à les voir, j'y compte bien !

5 septembre 2007

un petit pas ?

Ce soir j'ai pu verbaliser, auprès de ma petite soeur qui songe à mettre un bébé en route un de ces jours, le fait que je n'aurais sans doute que trois enfants.

C'est une première en dehors de mon couple, que dis-je, une première tout court, particulièrement remarquable en ceci que je n'ai pas explosé de colère, ni fondu en larmes...
Ceci fait sans doute suite à la discussion à coeur ouvert que nous aons eu en couple hier, dans la continuité de notre DSA. Nous avons pu parler calmement, ce qui pour moi sur ce sujet était une performance. Monsieur n'arrive pas à se décider, il est incapable de trancher. Or je veux un enfant certes, mais primo : pas au détriment de mon couple, deuxio : certainement pas "à compte d'auteur"; pour ce genre de bébé, il faut véritablement être deux. A moins d'un miracle, en écoutant ses réflexions, la réponse que je lis en filigrane, c'est non.
Moralité : va bien falloir, de gré, ou plutôt de force, que je me fasse à l'idée.
C'est un élément qui fait son chemin doucement. La souffrance est grande, mais je ne suis plus aussi proche de la falaise du désespoir. Pas de raison d'ailleurs, j'ai trois beaux garçons, et même si mon quatrième n'a pas eu le droit de porter un nom, même si ce bébé que mère Nature m'a enlevé reste en mon coeur, mes trois sont la grande joie de ma vie (bon d'accord, et pas mal de soucis aussi, mais là c'est normal non ?! faut assumer après tout... lol ).

Ce qui est difficile ?
Avant tout, assumer qu'à trente ans ma vie de "maternité" au sens primal du terme soit déjà terminée, me faire à l'idée que mon ventre ne portera plus de fruit, accepter l'idée de devoir empêcher une éventuelle fécondation de se produire pour, au bas mot, les quinze prochaines années...
Ensuite, la perte de l'image familiale (celle de ma belle-famille entre autres, si unie et équilibrée) autour de laquelle je me suis construite, de quatre enfants, connaître tous les pièges, toutes les difficultés du fonctionnement à trois et tenter de les minimiser pour mes enfants.

Prendre conscience que rien ne grandira plus dans mon ventre, que je ne sentirai plus de bébé bouger en moi, que je n'allaiterai plus jamais un nourrisson avide et rassuré, que ma dernière grossesse, assez mal vécue moralement, notamment suite à des soucis du côté de ma mère,  restera l'image finale de la grossesse, des tas de "petites" choses qui n'en sont pas, qui forment un tout dont j'ai parfois du mal à me sortir....

Enfin, pardonner à mon mari de n'avoir pas su, pas pu, me dire le fond de sa pensée, de ne pas m'avoir fait suffisamment confiance, d'avoir eu peur, pas seulement du quatrième, mais aussi et surtout de ma réaction. J'en suis blessée, mais surtout infiniment triste, ayant eu la faiblesse de penser que notre confiance mutuelle était suffisante.

Toujours est-il que malgré tout, j'ai pu dire à ma soeur qu'à mon avis, elle ne pourrait pas compter sur un autre neveu/nièce. Je ne sais pas à quoi ressemblait réellement ma voix, mais je pense, j'espère qu'on n'y sentait pas les éléments dont je viens de parler, mais juste des faits. C'est de toutes façons un grand pas en avant pour moi. Il y a dix jours seulement, l'évocation du sujet dans ma belle-famille m'avait obligée à quitter (discrètement je l'espère) le repas familial quelques instants, histoire de reprendre le contrôle de mes émotions...

La prière m'a bien aidée tout au long de cet été, notamment pour avancer sur le sujet, m'obligeant à clarifier mes pensées et mes sentiments, pointant également du doigt mes faiblesses, et me permettant de comprendre réellement la chance que j'ai déjà d'avoir mes trois petits loups et un homme aimé dans ma vie....

Pour m'avoir guidée sur les chemins de l'acceptation, pour Ton soutien et Ta présence dans mon quotidien, pour les signes qu'il m'a été donné de percevoir cet été, merci Seigneur.

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3 septembre 2007

DSA d'août

Enfin, de début septembre...
Notre prochaine réunion étant en fin de semaine, et n'ayant pas fait de DSA depuis un moment, nous avions décidé que ce soir y serait consacré. Raté !
En réalité, juste après avoir pris cette décision, voici que nous avons abordé les sujets importants...et donc embrayé un DSA "improvisé".
Relation de couple, enfants, principes éducatifs, à l'exception (assumée) d'un sujet qui fâche, nous avons abordé les différents aspects de notre vie actuelle et quotidienne. Reste l'aspect plus spirituel des choses, mais en général ce sont des éléments que nous abordons lors de nos soirées de préparation de réunion, donc au final nous sommes plutôt contents de cette discussion.

Sur le plan éducatif, nous voulons essayer d'être plus en phase, plus cohérents l'un avec l'autre dans nos attitudes. Crier moins est un objectif, mais en trouvant d'autres formes d'autorité, sans oublier le dialogue, mais sans tolérer le répondant parfois excessif de Prems par exemple...
La tendance fondamentalement rebelle de Deuz gagnerait à être un peu "cadrée" également, mais en douceur, puisque nous savons que le braquer est totalement contre-productif.
Quant à Troiz, son papa va essayer de ne pas se marrer lorsqu'il le gronde pour une bêtise...ce qui diminue considérablement son autorité !!
Mon but est de "lâcher" un peu la bride, ayant tendance à être un peu trop stricte, parfois d'arriver à proposer un dérivatif à la frustration lorsque je pose un interdit par exemple.
Le but de monsieur est d'arriver à verbaliser plus souvent un simple "non", en évitant les stratégie d'évitement, car c'est un mot qu'il a du mal à prononcer. Tenter également de moins s'emporter et de moins "monter le son" lorsqu'il arrive à bout de patience...

Nous avons évoqué également les modalités d'organisation de cette année scolaire qui a démarré ce matin pour les enfants, baysit un soir par semaine pour me permettre de travailler plus tard, nécessité de trouver quelqu'un pour trois heures par semaine pour m'aider à la maison, disponibilité de ma part en milieu de semaine lorsqu'il risque d'être absent, activités des enfants et des parents. Certaines choses restent à préciser en fonction des horaires des uns et des autres...

Echange fructueux, certains points restent à préciser et rediscuter, et le sujet évité qui devrait trouver un dénouement dans les jours à venir.

31 août 2007

Lectio Divina

C'est la lecture des textes sacrés, de la parole de Dieu.

La Lecture de la Parole fait partie des PCE, ou Points Concrets d'Effort, c'est à dire les points d'applications de notre orientation de vie. Autrement dit, les PCE sont des éléments sur lesquels nous nous engageons moralement à tenter constamment de progresser.
La première fois que j'ai entendu parler de ces fameux PCE, ils nous ont fait peur, présentés qu'ils nous avaient été comme des "Règles" à suivre impérativement, nous avions la certitude alors, de ne pas être à la hauteur de ces règles. En réalité, ces points sont bien plus que des règles, car ils forment un but, une aspiration...un guide à partir duquel nous pouvons travailler; et chacun d'entre nous est à une distance différente sur le chemin.

La lecture, ou l'écoute, de la parole régulièrement est donc un de ces six points d'effort. Peut-être devrais-je écrire l'Ecoute, car il ne s'agit pas seulement de lire ou d'écouter, mais bien d'"entendre" et d'intérioriser, la parole, de mener une réflexion à travers elle, de s'ouvrir au message de Dieu. Ceci tant pour des textes simples, que pour les textes parfois ardus ou rebutants.
Facile à dire !

Beaucoup moins facile à mettre en pratique.

Certains choisissent de relire un évangile dans son entier, ou prennent d'autres textes bibliques. Un couple de nos amis réfléchit chaque soir sur un psaume. Nous avons pour l'instant choisi ce qui nous semble plus simple, à savoir, à travers différents supports, dans les suppléments de "la Vie" ou de "Prier" par exemple, de lire le texte d'Evangile du jour.

Cet été, j'avais acheté un petit livre "la prière des jours, été 2007" (celui-ci s'achevant ce dimanche, il va me falloir passer à autre chose...). Bien entendu, je n'ai pas lu la Parole tous les jours, et parfois à certaines périodes, une fois par semaine seulement, mais son format et son contenu m'ont permis de lire, réfléchir, amorcer une réflexion. Un début dont je suis contente, même si la route est encore longue.

De plus, la lecture nourrit et facilite un autre point d'effort je trouve : la prière.

illustration Van Gogh "nature morte avec Bible"

30 août 2007

Avance avec simplicité...

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Ep 3, 579 ; CE 54 (trad. Une Pensée, Mediaspaul 1991, p. 95)

Porter du fruit, débarrassé des soucis du monde

      Avance avec simplicité sur les voies du Seigneur, et ne te fais pas de souci. Déteste tes défauts, oui, mais tranquillement, sans agitation, ni inquiétude. Il faut user de patience à leur égard et en tirer profit grâce à une sainte humilité. Faute de patience, tes imperfections, au lieu de disparaître, ne feront que croître. Car il n'y a rien qui renforce tant nos défauts que l'inquiétude et l'obsession de s'en débarrasser.

      Cultive ta vigne d'un commun accord avec Jésus. A toi revient la tâche d'enlever les pierres et d'arracher les ronces. A Jésus, celle de semer, planter, cultiver et arroser. Mais même dans ton travail, c'est encore lui qui agit. Car sans le Christ, tu ne pourrais rien faire.

J’ai trouvé ce texte sur un blog ami.

Il me touche beaucoup par la justesse de ce qui est dit, mais également parce qu’il fait écho à une réflexion récente menée sur moi, mes défauts, mes faiblesses, et mes nombreuses insuffisances qui m’exaspèrent et me désespèrent tour à tour…

J’aime cette notion de « travailler avec ». Travailler avec ses défauts pour les mener à la disparition (ou à l’atténuation en tous cas) mais surtout, travailler « avec » Dieu, qui ne fera pas les choses à notre place, mais qui sera là pour épauler nos efforts.

A méditer encore donc !!

14 juillet 2007

Pourquoi si dur ?

Le quatrième... encore et toujours. Pourquoi ce bébé qui n'est ni possible, ni pour l'instant totalement impossible, me boulverse-t-il autant ? Le moindre coup de fatigue, la moindre nuit blanche, et me voici qui fond en larmes en croisant une femme enceinte, ou en voyant un bébé sur l'écran, ou encore en évoquant des sujets qui semblent anodins. Hier, j'ai été boulversée par l'évocation de notre changement de voiture, car ma voiture future ne sera pas la même selon que nous serons cinq ou six à la maison...les larmes sont montées à mes yeux lorsqu'une amie au téléphone m'a demandé si je n'avais pas une "grande nouvelle" à leur annoncer...et encore lorsque l'héroïne du film que nous visionnions a dit "c'est ma fille !!!" toute émue... Ca m'énerve ! J'ai entendu tous les arguments de Y à ce sujet, j'ai entendu un message contradictoire : non je ne veux pas, mais je ne suis pas sûr... j'ai entendu ses arguments économiques et pratiques (changement de statut, moins facile de partir en vacances, moins facile de les faire garder, moins d'argent pour loisirs et vacances, moins de temps, changement de voiture) mais assez peu de choses en ce qui concerne les ENFANTS, la Famille. Je n'ai pas l'impression d'avoir été entendue dans mon désir profond d'un quatrième, d'un "dernier", désir qui vient de très loin pour moi, envie d'une cohérence de fratrie que je n'ai pas vécue, frousse d'être un jour comme ces femmes, BS ou amies, qui dans toutes les soirées finissent par aborder l'enfant dont elles ont envie ou eu envie et qu'elles n'ont pas eu, qu'elles n'auront jamais bien qu'elles évoquent à cours terme une grossesse qui n'est qu'un fantasme. Comme je déteste cela. Je ne veux pas vivre dans le regret permanent, si nous ne faisons pas ce quatrième, il faudra que j'en fasse mon deuil et que je me fasse aider pour cela. Et puis il y a cette deuxième grossesse, qui n'a jamais abouti, cet enfant qui n'est pas né et qui pèse cependant sur ma vie, une envie de le transcender. Mais il y a, encore et toujours ce sentiment que ma famille serait "aboutie" avec ce dernier, conviction aussi qu'il serait plus facile pour chacun de trouver sa place, un équilibre entre les enfants. C'est peut-être utopique; en même temps l'exemple de ma belle-famille donne plutôt envie. Enfin, il y a également, bien cachée, cette envie discrète, cette hypothèse d'une petite fille...Celle dont mon mari a dit un jour à des amis "si j'étais sûr que ce soit une fille, on le mettrai en route tout de suite" Cette petite phrase me tue à petit feu en fait, puisqu'elle dit son envie profonde, et signifie bien que son refus actuel est intellectuel bien plus que personnel.... j'ai envie d'un quatrième Enfant, et si c'était une fille, ce serait un peu un cadeau supplémentaire, mais c'est un enfant dont j'ai envie... Je ne sais plus quoi faire, quoi penser... L'horloge tic-tac un peu plus chaque jour... un peu plus se rapproche le moment où il me dira "c'est trop tard", s'il attend ce moment, je crois que j'aurais de grosses difficultés à lui pardonner.
14 juillet 2007

Un dimanche convivial

Dimanche dernier, pour fêter les vacances et partager un repas en familles, nous avions choisi de nous retrouver à un pardon auquel officiait JMM, afin de partager un pique-nique ensemble ensuite. Nous avons donc assisté à la messe dans une charmante petite chapelle naïve joliment restaurée, dédiée à Notre-Dame de Bon Voyage. Je n'ai pu m'empêcher de penser que notre temps ensemble était en quelque sorte "béni", en effet, de la fin de matinée à la fin d'après-midi, ce dimanche a été la seule belle journée depuis un bon mois ! Un peu ventée, soit, mais que le soleil était bon ! Repas partagé dans le jardin de l'Eglise, un peu abrité du vent, et enfants qui se sont éclatés ensemble, poursuites, cache-cache, foot... Nous sommes rentrés avec le sourire aux lèvres et le coeur en fête.
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